Dans Imagine, John Lennon avait rêvé d'un monde sans violence, sans guerre, sans inquisition.
Mais, dans ce New York de 2050, la réalité est bien différente.
L'affrontement entre les défenseurs de la liberté et les tenants d'un
ordre totalitaire et sécuritaire s'envenime. Malgré l'aide des
chevaliers troubadours comme Pèire Cardenal ou Gaulcem Faidit,
les défenseurs de la liberté perdent du terrain.
Leur situation s'aggrave soudain
quand trois nouveaux chevaliers troubadours,
dont l'abominable Folquet de
Marseille et Marcabrun, viennent servir
l'Inquisition.
Si vous n'avez pas vu les épisodes précédents, c'est simple : cliquez sur le lien et vous arriverez sur le site de la vidéo. Cliquez alors sur l'image logo de la chaîne youtube Libertatimage.
Vous trouverez là les autres parties.
Didier MAURELL
L’AELOC APPELLE TOUS SES MEMBRES ET SYMPATHISANTS
A SIGNER ET DIFFUSER LARGEMENT
la pétition contre la dégradation
de l’enseignement de notre langue
lancée par la coordination régionale du mouvement « Pour que vivent nos langues » (Félibrige, IEO, Forum d’oc, AELOC, APLR, Calandretas)
Connectez-vous : http://chng.it/NTd59RCTMx
NON A LA DISPARITION DE L’ENSEIGNEMENT
DE NOTRE LANGUE RÉGIONALE
PROVENÇAL - NIÇOIS - ALPIN
Nous disons NON aux suppressions d’heures de cours de langue régionale dans les lycées et collèges suite aux réformes Blanquer et aux réductions des moyens ministériels ;
Nous demandons :
Une augmentation du nombre de postes de professeurs certifiés et agrégés d’occitan-langue d’oc enseignant le provençal, le niçois ou l’alpin, et des écoles où on enseigne la langue régionale ;
Le rétablissement des postes supprimés de conseiller pédagogique de langue régionale dans l’enseignement primaire et leur création là où ils n’existent pas encore ;
Le rétablissement de la formation en langue régionale des futurs professeurs des écoles dans les instituts de formation des maîtres (INSPÉ) ;
La mise en place d’un plan de développement de l’enseignement de notre langue régionale par convention avec le Conseil Régional et les Conseils Départementaux conformément à la loi ;
Parce que la langue originelle de notre région est ce qui fait depuis mille ans notre identité commune d’où que nous y soyons venus, et qu’elle est une part de l’identité des autres pays de langue d’oc et donc de la France ;
Parce qu’elle nous rend solidaires des autres langues de France (corse, catalan, arménien …) ou d’immigration présentes sur notre territoire ;
Parce qu’elle prépare nos élèves au bilinguisme précoce et les ouvre vers les langues voisines d’Europe et de Méditerranée.
COLLECTIF NATIONAL « POUR QUE VIVENT NOS LANGUES »
Comité régional Provence-Alpes-Pays Niçois
Non à la disparition programmée
de l’enseignement de notre langue régionale
Provençal - Niçois - Alpin
Nous disons NON aux suppressions d’heures de cours de langue régionale dans les lycées et collèges suite aux réformes Blanquer et aux réductions des moyens ministériels ;
Nous demandons :
Une augmentation du nombre de postes de professeurs certifiés et agrégés d’occitan-langue d’oc enseignant le provençal, le niçois ou l’alpin, et des écoles où on enseigne la langue régionale ;
Le rétablissement des postes supprimés de conseiller pédagogique de langue régionale dans l’enseignement primaire et leur création là où ils n’existent pas encore ;
Le rétablissement de la formation en langue régionale des futurs professeurs des écoles dans les instituts de formation des maîtres (INSPÉ) ;
La mise en place d’un plan de développement de l’enseignement de notre langue régionale par convention avec le Conseil Régional et les Conseils Départementaux conformément à la loi ;
Parce que la langue originelle de notre région est ce qui fait depuis mille ans notre identité commune d’où que nous y soyons venus, et qu’elle est une part de l’identité des autres pays de langue d’oc et donc de la France ;
Parce qu’elle nous rend solidaires des autres langues de France (corse, catalan, arménien …) ou d’immigration présentes sur notre territoire ;
Parce qu’elle prépare nos élèves au bilinguisme précoce et les ouvre vers les langues voisines d’Europe et de Méditerranée
TRÈS IMPORTANT
S’INSCRIRE D’URGENCE À LA LETTRE HEBDOMADAIRE DE L’EXPRESS
SUR LES LANGUES RÉGIONALES
Il est capital de conserver sur un grand média national une chronique hebdomadaire favorable aux langues de France. Le journaliste qui la rédige nous signale que sa pérennisation va être examinée très prochainement par la rédaction du magazine et son maintien dépendra du nombre d’abonnés à la lettre numérisée. Il nous faut impérativement s’y inscrire en masse, c’est très simple et gratuit.
L’équipe de l’AELOC
SUR LE BOUT DES LANGUES : C'EST LE MOMENT OU JAMAIS !
Vous le savez : rares sont les médias nationaux à s'intéresser aux langues de France, et je suis heureux et fier que l'Express soit l'un de ceux-là.
Vous le savez aussi : la presse écrite traverse une conjoncture difficile et il lui faut faire des choix. Concrètement, L'Express devra décider dans les semaines qui viennent de pérenniser ou non ma lettre d'information. Sa réponse dépend en partie de vous. Tout dépendra en effet du nombre d'inscrits qu'elle comptera au moment de l'arbitrage. Plus celui-ci sera élevé, plus sa pérennité sera assurée.
Dès lors, si vous jugez cette lettre digne d'intérêt, inscrivez-vous (si ce n'est déjà fait) et/ou faites inscrire vos relations. La démarche est d'autant plus facile que cette lettre est totalement gratuite.
Il suffit pour cela d'indiquer son adresse de messagerie en suivant le lien ci-dessous :
https://bit.ly/2L5eECJ
Michel Feltin-Palas, Journaliste à l'EXPRESS
Nos langues, ce sont l’occitan-langue d’oc, le basque, le breton, le catalan, le corse, le flamand occidental, l'allemand standard et dialectal alsacien et mosellan, le savoyard (arpitan-francoprovençal), les langues d'Oïl, les créoles et les langues autochtones des territoires des Outre-Mer.
Toutes résistent en France pour ne pas disparaître car elles figurent toutes à l’inventaire des « langues menacées de disparition » établi par l’Unesco. Malgré l’élan mondial pour que biodiversité naturelle et biodiversité culturelle soient enfin considérées et préservées, malgré les textes internationaux qui régissent les droits de l’Homme et les droits des peuples, l’État français, en dépit de multiples condamnations par l’ONU, continue son œuvre de destruction du patrimoine immatériel millénaire que sont nos langues et nos cultures.
Dans l’Académie d’Aix-Marseille
L’ÉDUCATION NATIONALE S’ACHARNE À NOUVEAU CONTRE LE PROVENÇAL
Après le saccage de l’enseignement d’occitan-langue d’oc dans les lycées, voici que le département des Bouches du Rhône s’attaque aux postes de conseillers pédagogiques de langue régionale dans l’enseignement primaire.
Dans la réunion du Comité technique spécial départemental du 25 Février à Marseille, qui discute avec les syndicats des ouvertures et suppressions de postes, l’Administration a annoncé qu’elle fermait l’un des trois postes de conseillers pédagogiques de la Mission de Langue Régionale, qui avait déjà perdu précédemment un poste.
Rappelons que les Bouches du Rhône ont trois écoles bilingues, vingt-trois écoles semi-bilingues qui mènent une expérience spécifique unique en France, et 84 écoles où se donne une initiation à la langue.
Outre les protestations qui sont en train de s’organiser, l’équipe de l’AELOC demande à tous ceux qui soutiennent la promotion de notre langue, associations ou individus, de se manifester auprès des autorités académiques du département pour demander la révision de cette mesure, et protester une fois encore contre les réductions d’heures dans le second degré, ainsi que de solliciter les élus pour qu’ils se mobilisent de leur côté.
Monsieur le Directeur Académique des Services de l’Education Nationale
D.S.D.E.N.
28 boulevard Charles Nédélec
13231 Marseille Cedex 01
L’ENSENHAMENT SEGONDARI DE L’OCCITAN-LENGA D’ÒC ES MENAÇAT
L’AELOC apello à amplifica l’acien
Pèr coumença de reguigna contro lei mesuro sènso precedènt presso pèr lou Menistèri e lei Reitourat qu’escagasson l’ensignamen de la lengo dins lei licèu, nouastro federacien naciounalo la FELCO apello à participa ei manifestacien dóu dimars 5 de Febrié. Vaqui soun messàgi em’aquéu de nouastre representant à l’AG de la FELCO Matiéu Poitavin.
Bonjorn a totes, l'AG de la FELCO, que recampèt aqueste dissabte un fum de mond venguts de totas las acadèmias (mercé a eles !), sona los collègas a participar a las manifestacions de dimars 5 de febrier. Demanda es facha a totes
- de portar de drapèls occitans e mai de la FELCO, de preveire musica
- de prene las bandièras quand n'i a.
- d'estampar e d'escampilhar de tractes sus la reforma (qualques modèls en PJ, que podètz adaptar a la situacion de l'endrech). NB : se tròp de fraisses, la FELCO pòt ajudar. Mercé de dire per retorn qual accepta de menar aquela accion d'estampatge e de tractatge.
- de mediatizar los preséncia : fòtos sus los malhums socials.
De legir l'excellenta cronica de Felip Martel : https://dis-leur.fr/chronique-occitane-avec-la-reforme-blanquer-la-chasse-au-patois-est-rouverte/
Amistats a totes, Maria-Joana Verny
Lei professors de provençau de la Vauclusa seràn a la gara d’Avinhon a 10.30 de matin. Se podètz, vosautres leis associacions, menar fòrça bandieras per sosténer l’ensinhament nòstre seriá flame. Fasètz seguir ! Mobilisatz lo mai de mond possible. Gramaci.
Matieu Poitavin, administrator de l’AELOC
L’AELOC soutient l’Appel du Forum d’Oc aux élus de la Région
contre la dégradation de l’enseignement de la langue
Cet Appel (à lire ci-dessous ou en ligne ici) a été adressé à tous les députés, sénateurs, maires, conseillers régionaux et départementaux pour les alerter sur la situation de l’enseignement de la langue.
Il leur demande de prendre une initiative qui pourrait commencer par la mise en place d’Etats Généraux pour la transmission de la langue aux jeunes générations.
Le chantier doit être ouvert en même temps au niveau national et régional, et l’Appel propose une liste de mesures immédiates et gratuites qui supprimeraient déjà une grande partie des obstacles.
Il est demandé à tous de faire connaître cet Appel et de sensibiliser les élus de son entourage.
La création de ce média nous semble très importante et nous vous encourageons chacun à vous inscrire gratuitement à la lettre de l’Express avec le lien indiqué ci-dessous. Il faut atteindre 500 inscrits pour pouvoir lancer le projet.
Newsletter Sur le bout des langues - L'Express
Inscrivez-vous à la newsletter Sur le bout des langues
EVENT.LEXPRESS.FR
Je vous l'avais annoncé voilà quelque temps : je m’apprête à lancer sur le site de l’Express une lettre d’informations hebdomadaire consacrée aux langues de France. Je vous avais également indiqué que j’aurai besoin d’informations et d’idées. Vous avez été nombreux à me répondre et je vous en remercie.
Ce projet reste plus que jamais à l’ordre du jour. Il reste toutefois une dernière condition à remplir : démontrer que le sujet rencontre l’intérêt des internautes. Pour cela, nous avons besoin de recueillir au préalable 500 inscriptions. Sachant, je vous rassure tout de suite, que la communication d'une adresse internet suffit : l’accès à cette lettre est et restera gratuit. Sachez aussi que les personnes concernées recevront en tout et pour tout un seul courriel : aucune autre exploitation ne sera faite de ce fichier.
Puis-je compter sur vous ?
Si oui, merci de cliquer sur ce lien https://event.lexpress.fr/inscription-lettre-info-sur-le-bout-des-langues/
Et si vous jugez le projet intéressant, pensez également à diffuser l’information autour de vous.
Merci !
Michel Feltin, chef-redacteur du service Régions de l’Express
NOUS NOUS VÎMES 3 000…
Une pétition lancée par Hervé GUERRERA
En 4 jours la pétition sur Change.org « Ni SUD, Ni PACA, Mais PROVENCE ! Rendons enfin son nom à notre région ! » a recueilli 3 000 soutiens venus de toute la région et d’ailleurs.
Des personnalités éminentes, comme M. Aillagon ancien ministre de la Culture, ont fait savoir que « PROVENCE » est le terme le plus approprié pour dénommer notre région.
La PROVENCE est diverse. Des montagnes à la Mer, des collines aux plaines, des villes aux espaces naturels notre région propose toutes les beautés et tous les climats.
Le Président Muselier n’a de cesse que de promouvoir SUD au très mauvais prétexte que « PROVENCE » ne serait pas adaptée à l’ensemble du territoire régional.
C’est oublier que SUD, comme PACA, ne représente rien, ni personne !
C’est refuser, à l’heure de la démocratie participative et des réseaux sociaux, le droit aux citoyens de s’exprimer et grand MERCI à celles et ceux qui se mobilisent, encore et toujours plus, sur change.org.
C’est ignorer l’Histoire de cette région quand le Pays Niçois s’appelait les « Terres Neuves de PROVENCE », quand sur la monnaie qui avait cours à Embrun, et au-delà, était frappé « PROENCIA - PROVENCE ».
C’est taire qu’apposée sur les murs du Conseil Régional figure cette plaque où Frédéric Mistral définit ainsi, dans notre langue, le territoire provençal :
Despièi l'urouso Niço ounte l'arange crèis,
Despièi lis Isclo d'Or ounte jogo lou pèis,
Jusqu'au bàrri neven que Briançoun aubouro,
Depuis l'heureuse Nice où croît l'orange,
depuis les Îles d'Or où le poisson se joue,
jusqu'au rempart de neige que Briançon élève
La PROVENCE, des Grecs et des Romains, des villes franches, du droit écrit, de la constitution provençale, des consuls, des grands citoyens et de la république nous rassemble tous.
La PROVENCE n’est pas un nouveau carcan centraliste ! C’est une valorisation de chacun de nos territoires, de chacune nos spécificités et le blason de la région le résume parfaitement.
La PROVENCE est connue et reconnue y compris à l’international, contrairement à PACA, ou à un SUD qu’on ne saurait situer. Elle est porteuse d’identification culturelle et de dynamisme économique donc d’emplois.
NOUS DEMANDONS, PLUS QUE JAMAIS ET AVEC LA PLUS GRANDE DÉTERMINATION, AU PRÉSIDENT MUSELIER DE RENDRE, ENFIN, SON NOM HISTORIQUE DE « PROVENCE » À NOTRE RÉGION !
Ni SUD, Ni PACA, Mais PROVENCE ! Rendons enfin son nom à notre région !
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